L'AUBE QUI BLANCHIT DEJA LES COTEAUX – Samson et Dalila
de Camille Saint-Saëns



Livret de Ferdinand Lemaire
Année de création 1877
Acte III – Deuxième tableau

(Interieur du temple de Dagon. Statue de Dieu. 
Table des sacrifices. Au milieu du sanctuaire deux colonnes 
de marbre semblant supporter l'édifice.)
(Le Grand Prêtre de Dagon entouré des princes philistins. 
Dalila, suivie des jeunes femmes philistines, 
couronnées de fleurs, des coupes à la main. 
Une foule de peuple remplit le temple. Le jour se lève.)

L'aube qui blanchit déjà les coteaux,
D'une nuit si belle éteint les flambeaux;
Prolongeons la fête, et malgré l'aurore,
Aimons encore;
L'amour verse au cœur l'oubli de nos maux.
Au vent du matin, l'ombre de la nuit
Comme un léger voile à l'horizon fuit.
L'orient s'empourpre, et sur les montagnes
Le soleil luit,
Dardant ses rayons au sein des campagnes.

(Paroles chantées par la voix de soprano)

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Chœur L'aube qui blanchit déjà les coteaux

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