
|
Chanson
de Solveig
La
chanson de Solveig est une chanson d’amour dans laquelle une
jeune fille (Solveig) dit qu’elle attendra Peer Gynt qui la
délaisse pour découvrir le vaste monde.
La
chanson se trouve à la fin du quatrième acte de la pièce
de théâtre, « Peer
Gynt »,
écrite,
en 1867, par le Norvégien Henrik Ibsen et mise en musique par
Edvard Grieg, lui aussi Norvégien. Cette pièce fut
jouée pour la première fois en 1876.
La
pièce de Henrik Ibsen, puisée dans l’imaginaire des
traditions populaires et des contes de Norvège, est une
farce douce-amère proposant une quête de l’identité. Elle
relate la chute et la rédemption d’un paysan Norvégien,
fanfaron, prétentieux, anti-héros.
- L'hiver
peut s'enfuir, le printemps bien aimé
Peut
s'écouler. Les feuilles d'automne et les fruits de
l'été, Tout peut passer. Mais tu me reviendras, Ô
mon doux fiancé, Pour ne plus me quitter. Je t'ai
donné mon coeur, il attend résigné, Il ne saurait
changer.
Que Dieu daigne encore dans sa grande
bonté, Te protéger, Au pays lointain qui te tient
exilé, Loin du foyer. Moi je t'attends ici, cher et
doux fiancé, Jusqu'à mon jour dernier. Je t'ai
gardé mon cœur, plein de fidélité, Il ne saurait
changer.
|
|
|
Enregistrements
audio
Soprani
Alti
Ténors
Basses
Liens
utiles
Edvard
Grieg
Peer
Gynt
Chanson
de Solveig
|