J. OFFENBACH : Les Contes d'Hoffmann1881
Livret de Jules Barbier

Opéra comique-fantastique

Acte II - Olympia

Hoffmann est amoureux d'Olympia, la « fille » du scientifique Spalanzani. Celle-ci s'avère en fait être un automate dont Coppélius, un charlatan, a fourni à Spalanzani les yeux et vient présenter sa créance. Il vend à Hoffmann des lunettes magiques qui lui font voir Olympia comme une vraie femme. Hoffmann se croit alors aimé d'elle mais Niklausse, perplexe, tente en vain d'avertir son ami. Alors qu'il valse avec Olympia, Hoffmann tombe et ses lunettes se brisent. C'est alors que Coppélius qui veut se venger du chèque sans provision que lui a remis Spalanzani, revient et détruit Olympia. Hoffmann se rend compte de la vraie nature de celle qu'il aimait, cependant que la foule ricane de la naïveté du poète.

Finale : Elle danse en cadence

Le bal commence, Hoffmann et Olympia valsent, valsent de plus en plus vite.
Hoffmann tombe, Spalanzani entraîne sa fille hors de la salle. Mais on entend un grand bruit de ressorts brisés : Coppélius a cassé Olympia. Ce n’était qu’un automate. Hoffmann est brisé lui aussi.

Le chœur des invités

Elle danse
En cadence,
C’est merveilleux,
Prodigieux!

Place! Place!
Elle passe,
Elle fend l’air
Comme un éclair !








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